Par: Louis Hamelin
Bonjour,
Je me nomme Louis Hamelin et je travail àla DPCCC Particuliers en tant que Directeur de section depuis quelques années. C'est une collègue qui m'a informé de ce projet d'entreprise. Ceux et celles qui me connaisse savent que je suis un passionné de plein air et de grands espaces et c'est avec empressement que je fis part de mon intérêt à participer à cette aventure.
L'ascension du Kilimandjaro c'est avant tout une façon pour moi de me dépasser physiquement et mentalement, de connaître mes limites et aussi une façon de vivre une période d'introspection. Je suis convaincu que je sortirai de cette aventure transformé après avoir côtoyé la promiscuité, un décor dépaysant et un environnement déstabilisant et exigeant.
Je connais les effets pervers du mal des montagnes pour avoir séjourné dans les Andes au Pérou à plus de4 000 mètres d'altitude. C'est un mal nécessaire pour qui veut contempler la beauté des sommets.
Je ne pratique pas un sport en particulier, mais je suis une personne constamment en mouvement. J'ai pratiqué l'aviron pendant quelques années et je fais du ski alpin, du vélo et récemment du jogging. Bref, vous pouvez êtres dans la meilleur des conditions physiques, mais le mal des montagnes ne fait pas de distinction.
Je suis très anxieux et fébrile à l'idée de participer à ce projet d'ascension avec des collègues de travail en sol africain.
Youppi !!!!
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Je me nomme Louis Hamelin et je travail à
L'ascension du Kilimandjaro c'est avant tout une façon pour moi de me dépasser physiquement et mentalement, de connaître mes limites et aussi une façon de vivre une période d'introspection. Je suis convaincu que je sortirai de cette aventure transformé après avoir côtoyé la promiscuité, un décor dépaysant et un environnement déstabilisant et exigeant.
Je connais les effets pervers du mal des montagnes pour avoir séjourné dans les Andes au Pérou à plus de
Je ne pratique pas un sport en particulier, mais je suis une personne constamment en mouvement. J'ai pratiqué l'aviron pendant quelques années et je fais du ski alpin, du vélo et récemment du jogging. Bref, vous pouvez êtres dans la meilleur des conditions physiques, mais le mal des montagnes ne fait pas de distinction.
Je suis très anxieux et fébrile à l'idée de participer à ce projet d'ascension avec des collègues de travail en sol africain.
Youppi !!!!
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